Le nouveau Future Risks Report 2025 confirme un monde sous tension — et un classement qui bouge peu sur l’essentiel : le risque climatique demeure #1 pour les experts, devant l’instabilité géopolitique et la cybersécurité. Malgré la « polycrise », le climat reste le multiplicateur de risques qui fragilise infrastructures, approvisionnements et stabilité sociale. Points clés à retenir :
- Climat #1 pour la 5ᵉ année consécutive (Top 10), avec un fort sentiment de vulnérabilité (66 % des experts, 75 % du grand public ;
- Préparation publique jugée insuffisante : seuls 12 % des experts estiment les autorités prêtes face au risque climatique.
- Fragmentation & polycrise : montée simultanée de l’instabilité géopolitique, de la cyber et des tensions sociales qui resserrent l’écart avec le climat.
- Message transversal du rapport : le coût de l’inaction > coût de la transition, d’où la nécessité d’adapter et atténuer simultanément.
Le lien avec Matissart
Dans ce contexte, Matissart réaffirme sa trajectoire de réduction d’empreinte carbone et sa volonté d’embarquer tout l’écosystème fournisseurs. Notre ligne d’action :
- Décarboner les procédés (électrification pertinente, sobriété énergétique, récupération de chaleur, pilotage data pour la qualité et le rendement).
- Verdir les achats (matières à contenu recyclé/certifié, critères carbone graduellement renforcés dans les appels d’offres, contrats long terme qui sécurisent l’investissement bas-carbone).
- Renforcer la résilience face aux aléas climatiques et géopolitiques (cartographie des risques fournisseurs, double-sourcing critique, logistique optimisée et plans d’adaptation site-par-site).
Notre ambition est claire : réduire vite, réduire bien, et réduire ensemble. Dans un monde où le climat reste le premier risque et où les autres menaces se nourrissent de lui, la valeur d’une métallurgie compétitive sera indissociable de sa capacité à décarboner et à se prémunir des chocs. Matissart choisit d’en faire un avantage concurrentiel partagé avec toute sa chaîne de valeur.
